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Relativité Générale 8/8 - Résumé et Applications

Cette vidéo conclut la série, avec un résumé des différentes méthodes qui permettent de résoudre un problème en relativité. Ces méthodes seront illustrées par trois exemples concrets, vous êtes invités à refaire les calculs par vous-mêmes ! Si vous voulez voir d'autres vidéos, n'hésitez pas à vous abonner à la chaîne YouTube : http://youtube.com/ScienceClic Et si cette vidéo vous a plu, vous pouvez la partager sur les réseaux sociaux ! Pour me soutenir sur Tipeee : http://tipeee.com/ScienceClic ou gratuitement sur uTip : http://utip.io/ScienceClic Page Facebook : http://facebook.com/ScienceClic Twitter : http://twitter.com/ScienceClic Google+ : http://google.com/+ScienceClic Alessandro Roussel, Pour plus d'informations: http://www.alessandroroussel.com

ScienceClic

4 years ago

Bonjour à tous, aujourd’hui dans ScienceClic, les mathématiques de la relativité générale, partie 8, résumé et applications. Pour conclure cette série de vidéos, nous allons résumer tous les concepts développés en proposant un catalogue des différentes solutions possibles, et en les mettant en application dans plusieurs exemples concrets. On pourra calculer la dilatation du temps que subit un astronaute dans la station spatiale, déterminer les équations qui régissent le mouvement d’un objet tomb
ant sur le Soleil, et même la trajectoire de la lumière autour d’un trou noir. Pour commencer, résumons ensemble les différentes étapes qui permettent de résoudre un problème, en relativité générale. La première étape est de déterminer la géométrie d’espace-temps dans laquelle on veut résoudre notre problème. Ceci correspond à trouver la métrique que l’on va utiliser. Dans un univers vide, on utilisera la métrique de Minkowski, qui décrit l’espace-temps plat de la relativité restreinte. Autour d
’une masse sphérique, et statique, on utilisera la métrique de Schwarzschild. C’est la métrique la plus utilisée en relativité générale, car elle est simple, mais peut tout de même s’appliquer à un grand nombre de situations. Autour d’une planète, d’une étoile, ou même autour d’un trou noir statique. Il existe également un panel d’autres métriques, plus exotiques, comme la métrique FLRW, qui décrit l’univers tout entier à grande échelle, la métrique de Morris-Thorne qui décrit un trou de ver non
attractif, ou encore la métrique de Kerr, qui décrit un trou noir tournant rapidement sur lui-même. La seconde étape, est de choisir les coordonnées que l’on va utiliser pour décrire notre problème. En fonction de notre situation, certaines coordonnées sont plus appropriées que d’autres. En particulier, la métrique de Minkowski s’exprime la plupart du temps avec des coordonnées cartésiennes qui reflètent bien son invariance dans l’espace et dans le temps. Et la métrique de Schwarzschild, avec d
es coordonnées à symétrie sphériques, tout comme l’astre que l’on étudie. Cela dit, notre problème peut ne correspondre à aucune de ces solutions habituelles, et il va falloir dans ce cas déterminer par nous-même les coordonnées les plus appropriées, et partir directement de l’équation d’Einstein, pour intégrer les différents tenseurs de courbure, et remonter jusqu’à l’expression du tenseur métrique. Ce procédé peut s’avérer extrêmement complexe, et nécessite la plupart du temps des approximatio
ns, et des simulations informatiques. Une fois nos coordonnées choisies, la troisième étape consiste à analyser les symétries de notre problème, pour réduire son nombre de dimensions. Par exemple, pour décrire le mouvement d’une pomme tombant verticalement, on n’aura besoin que d’une seule dimension d’espace, on peut décrire sa position le long d’un seul axe. De même, pour un objet en orbite autour d’une masse sphérique, la symétrie nous indique que sa trajectoire est confinée dans un plan. Par
symétrie, l’objet n’a aucune raison de sortir de ce plan d’un côté plutôt que de l’autre. Dans ce cas, on peut se ramener à deux dimensions d’espace, en alignant nos coordonnées avec ce plan. Enfin, une fois notre métrique et nos coordonnées déterminées, on va pouvoir exprimer la solution de notre problème. Deux possibilités s’offrent alors à nous. Dans un premier temps, on peut vouloir exprimer les composantes de la vitesse de notre objet, dans l’espace-temps. Par exemple, on peut vouloir expri
mer sa vitesse temporelle, c’est à dire le rythme auquel s’écoule notre temps par rapport à son temps propre. Dans ce cas, on utilisera le fait que tous les objets de l’univers se déplacent à la vitesse de la lumière. La norme de sa vitesse doit donc être égale à la vitesse de la lumière, ce qui nous donne une équation qui relient entre elles les composantes de la vitesse. Dans un second temps, une fois que l’on connaît les différentes composantes de la vitesse de notre objet, on peut s’intéress
er à leur accélération, c’est à dire la façon dont elles évoluent au cours du temps propre. On pourra ainsi décrire des trajectoires complètes à travers l’espace-temps. Par exemple, on peut vouloir calculer le mouvement d’une pomme qui tombe sur Terre, ou la trajectoire de la Terre autour du Soleil. Dans ce cas, il est nécessaire de calculer les symboles de Christoffel, pour pouvoir les injecter dans l’équation des géodésiques. Dans le cas de la pomme par exemple, cette équation nous dit que sa
coordonnée d’altitude va subir une accélération négative, elle tombe. Pour résumer, on commence par choisir une géométrie d’espace-temps pour décrire notre univers. Puis on réduit le nombre de dimensions à étudier à partir des symétries de notre problème. Et enfin, on utilise dans un premier temps la norme de la vitesse, pour relier ses différentes composantes, et dans un second temps l’équation des géodésiques pour calculer la trajectoire complète de l’objet. Grâce à cette méthode nous allons p
ouvoir résoudre étape par étape un grand nombre de problèmes physiques. Exemple 1, la dilatation du temps Dans ce premier exemple, on souhaite déterminer la dilatation du temps que subit un astronaute dans la station spatiale. Pour résoudre ce problème, nous allons suivre les différentes étapes que l’on a énoncées précédemment. Tout d’abord, on choisit la métrique qui décrit le mieux notre situation. On considérera que la Terre est une sphère parfaite, et on négligera sa rotation sur elle-même q
ui est très faible devant la vitesse de la lumière. Dans ce cadre simplifié, l’espace-temps à l’extérieur de la planète est décrit par la métrique de Schwarzschild. Sous sa forme la plus intuitive, la métrique de Schwarzschild s’exprime avec des coordonnées sphériques, mesurées depuis l’infini. On imagine qu’on se place à très grande distance de la planète, et qu’on mesure le temps t, sur notre horloge, l’altitude r de la station depuis le centre de la Terre, et les angles theta, et phi. Le tens
eur métrique prend alors la forme suivante. Une fois le tenseur métrique exprimé dans les quatre dimensions de l’espace-temps, on va tenter de le réduire, en exploitant les symétries du problème. En particulier, on suppose que la station décrit un cercle autour de la Terre. En s’alignant sur ce cercle, on peut s’affranchir d’une part de la coordonnée theta, car la station orbite dans un plan, et d’autre part de l’altitude, r, qui reste constante tout au long de la trajectoire. Ainsi, on peut sup
primer les lignes et colonnes qui correspondent à ces deux coordonnées. La position de l’astronaute, dans l’espace-temps, peut être décrite avec seulement deux dimensions : le temps t, et l’angle phi. Enfin, une fois le tenseur métrique exprimé dans un système de coordonnées, on va pouvoir passer à la résolution du problème. La dilatation du temps que l’on veut calculer, correspond au rapport entre le rythme du temps de notre horloge, t, et le temps propre de l’astronaute. Il s’agit simplement d
e sa vitesse temporelle, c’est le rythme auquel augmente la coordonnée t au cours du temps propre. Pour calculer cette vitesse temporelle, on va utiliser la norme du vecteur vitesse. Dans l’espace-temps, tous les objets se déplacent à la vitesse de la lumière. Notre astronaute se déplace à la fois dans le temps, et dans l’espace, mais sa vitesse globale dans l’espace-temps est toujours égale à c. La norme d’un vecteur en relativité générale, se développe à partir du tenseur métrique, c’est l’équ
ivalent du théorème de Pythagore. En développant la somme, et en y injectant les termes de la métrique de Schwarzschild, on obtient une équation qui relie directement les deux composantes de la vitesse. D’une part, la vitesse angulaire de l’astronaute, c’est à dire le rythme auquel augmente l’angle qu’il forme autour de la Terre, et d’autre part sa vitesse temporelle, qui est la valeur de dilatation nous intéresse. En réarrangeant les termes, et en utilisant le fait que la vitesse d’orbite de la
station est égale à sa vitesse angulaire multipliée par son altitude, on obtient finalement l’expression de la dilatation du temps que subit l’astronaute par rapport à un observateur lointain. Pour la station spatiale internationale, on calcule une dilatation d’une nanoseconde pour chaque seconde de temps propre, le temps de l’astronaute s’écoule légèrement moins vite que celui de l’observateur. Exemple 2, une chute verticale Dans ce deuxième exemple, on souhaite décrire la chute d’un satellite
vers le Soleil. On considère une chute verticale, et on fait l’approximation que le Soleil est une sphère, statique, et peut donc être décrit par la métrique de Schwarzschild. On utilisera les mêmes coordonnées que dans le cas précédent : on se place à une très grande distance, et on mesure le temps t sur notre horloge, l’altitude apparente r entre le satellite et le centre du Soleil, et les deux angles theta et phi. Comme la chute se fait verticalement, les angles theta et phi ne varient pas,
et on peut d'ores et déjà s'en affranchir. La position du satellite ne dépend que de son altitude, et du temps. Dans cet exemple, on ne va pas s’intéresser à la vitesse du satellite, mais à son évolution, on cherche l’accélération de ses coordonnées. Pour ce faire, on commence par calculer les symboles de Christoffel. Dans la métrique de Schwarzschild, avec nos coordonnées, les symboles de Christoffel prennent la forme suivante. Une fois calculés on va pouvoir les injecter dans l’équation des gé
odésiques. L’équation des géodésiques se sépare en deux versions, elle va nous donner l’accélération du satellite sur chacune de ses deux coordonnées. D’une part, son accélération temporelle, et d’autre part l’accélération de son altitude. Ces deux formules nous permettent d’intégrer la trajectoire du satellite au cours du temps propre. Connaissant sa vitesse à un instant donné, on peut calculer son accélération, et ainsi la façon dont changera cette vitesse, à l’instant suivant. Pour aller plus
loin, il est possible d’interpréter ces équations de façon plus élégante. La première équation notamment peut être mise sous une forme différente, qui nous indique la conservation d’une certaine grandeur tout au long de la trajectoire. Cette grandeur est directement liée à ce qu’on appelle l’énergie. Dans la métrique de Schwarzschild, l’énergie du satellite dépend de son altitude, et de la dilatation du temps. Exemple 3, un rayon lumineux Pour finir, en conclusion de cette série de vidéos, nous
allons décrire ensemble la trajectoire d'un rayon lumineux autour d'un trou noir. Dans le cas d'un trou noir statique, l'espace-temps est encore une fois décrit par la métrique de Schwarzschild. En relativité générale, la lumière est un cas bien particulier, que l’on va devoir traiter différemment. Pour comprendre, reprenons quelques notions. On a vu dans les vidéos précédentes qu’un objet trace une ligne d’univers dans l’espace-temps. Cette ligne d’univers peut être graduée, avec des intervall
es de longueur fixe. Cette graduation sur la courbe nous permet d’interpréter la ligne d’univers comme un déplacement, c’est ce qu’on appelle le temps propre. Au cours de son temps propre, l’objet se déplace dans l’espace-temps, et on peut définir un vecteur de vitesse spatio-temporelle. Mais contrairement à la matière, la lumière ne parcourt aucune distance dans l’espace-temps. Deux points sur sa ligne d’univers sont toujours éloignés d’une distance de 0. On ne peut donc pas construire de temps
propre pour la lumière, car elle ne parcourt aucune distance. En particulier, on ne peut pas définir le vecteur vitesse d’un rayon lumineux, car la distance parcourue et le temps propre écoulé sont toujours nuls. Pour résoudre ce problème, on va donc définir une nouvelle graduation, spécialement pour ce rayon lumineux. Cette nouvelle graduation, est ce qu’on appelle un paramètre affine. Contrairement au temps propre, le paramètre affine n’a pas de vrai sens physique, il ne mesure aucune distanc
e dans l’espace-temps. Il s’agit simplement d’une graduation, arbitraire, qui va servir d’intermédiaire mathématique pour les équations. Grâce à ce paramètre affine, on peut définir une sorte de vecteur vitesse, et ainsi utiliser l’équation des géodésiques, qui reste vraie. D’autre part, on va pouvoir également utiliser la norme de ce vecteur. Mais à la différence d’un objet de matière, ce pseudo vecteur vitesse que l’on a artificiellement créé pour le rayon lumineux a une longueur nulle, car la
lumière ne parcourt aucune distance. Sa norme vaut donc 0. A cette petite différence près, on peut toujours appliquer le même raisonnement que pour les problèmes précédents, et obtenir les équations des géodésiques qui régissent le trajet des rayons lumineux, au cours de leur paramètre affine, autour d’un trou noir. Ces équations nous indiquent que la lumière est déviée autour du trou noir, qui agit comme une lentille gravitationnelle.

Comments

@ScienceClic

J'espère que la série et cette dernière vidéo vous auront plu ! Pour les courageux qui ont tenté de résoudre les quelques exercices que j'ai proposés, voici les réponses avec les raisonnements suivis [SPOILER]: Exercice 1 : (1) Dans le cas d'une personne sur Terre, on peut réutiliser la même formule que pour la station spatiale, mais en remplaçant l'altitude r par le rayon de la Terre (6370 km), car la personne est à la surface de la Terre, et la vitesse v par 0 car la personne reste immobile sur la surface (contrairement à la station qui était en orbite). Quand on fait le calcul on obtient environ 1.000 000 000 7 (soit 0,7 nanosecondes par seconde) (2) Pour obtenir le rapport de dilatation du temps entre la station et la personne sur Terre, on fait la division de l'un par l'autre (on veut regarder comment l'un évolue par rapport à l'autre). On calcule donc 1.000 000 001 / 1.000 000 000 7 ~ 1.000 000 000 3. L'astronaute dans la station spatiale subit donc une dilatation d'environ 0,3 nanosecondes / seconde par rapport à la personne sur Terre. Bien qu'il se trouve plus loin de la Terre, son temps s'écoule quand même plus lentement car sa vitesse est beaucoup plus élevée. Exercice 2 : On va utiliser la deuxième équation des géodésiques, la formule qui donne l'énergie, et la norme du vecteur vitesse (en utilisant la métrique). Tout d'abord on sait que l'énergie vaut E = mc²vᵗ(1-2GM/rc²). On a donc que vᵗ = E/mc²(1-2GM/rc²). On peut injecter cette expression dans la deuxième équation des géodésiques ce qui nous donne : (dvʳ/dt) = -(GM/r²)(E²/m²c⁴(1-2GM/rc²)) + (GM/r²c²)(vʳ)²/(1-2GM/rc²) D'autre part, on sait que le satellite se déplace à la vitesse de la lumière dans l'espace-temps, donc la norme de son vecteur vitesse doit valoir c. Notre tenseur métrique nous donne l'expression suivante pour le carré de la norme de la vitesse : ||v||² = c² = (c²-2GM/r)(vᵗ)² - (vʳ)²/(1-2GM/rc²) On utilise l'expression qu'on a trouvée précédemment pour vᵗ : ||v||² = c² = E²/m²c²(1-2GM/rc²) - (vʳ)²/(1-2GM/rc²) Et on réarrange les termes de l'équation pour trouver l'expression de (vʳ)² : (vʳ)² = E²/m²c² - c²(1-2GM/rc²) Finalement, on injecte cette expression dans l'expression de (dvʳ/dt) qu'on avait obtenue à partir de l'équation des géodésiques : (dvʳ/dt) = -(GM/r²)(E²/m²c⁴(1-2GM/rc²)) + (GM/r²)(E²/m²c⁴(1-2GM/rc²) - 1) La plupart des termes s'annulent et on obtient : (dvʳ/dt) = -GM/r²

@-kds-7947

Meilleur chaîne de science clairement

@dime7827

La notification la plus ATTENDUE !!

@megahole159

Depuis le temps qu'on attendait ton retour 👍🏾❤️

@plijadur

Le boss est de retour ; merci sincèrement pour cette «  vulgarisation » de haut niveau... Vive la RG et ceux qui œuvrent pour la démystifier

@cedricklyon

Aaah cette voix ♥ Si mon prof de physique avait eu cette voix, ces vidéos et ce talent de vulgarisation high level, je bosserai au CERN.

@AnoNymous-eg9pn

Ta série est absolument fantastique, merci mille fois pour ton travail, c'est juste fascinant et émouvant de toucher du doigt la compréhension des équations de la relativité. Tes animations et ta pédagogique sont juste parfaite. Merci encore 👍👍👍

@graine7929

J'ai beaucoup hésité à commenter parce que ce n'est pas dans mes habitudes, mais je tiens à le faire parce que je suppose que c'est une multitude de soutiens qui aident à te motiver à continuer dans ce que tu fais. Ça va faire une dizaine d'années que je regarde beaucoup de vulgarisation scientifique, et tout particulièrement en physique, et je pense sincèrement que je n'ai jamais été autant admiratif du travail d'un vulgarisateur (et pourtant j'en ai admirés beaucoup). C'est très très satisfaisant (et rare) de trouver des séries de vidéos sur des sujets aussi techniques qui n'hésitent pas à reconstruire une bonne partie du cadre nécessaire à la compréhension des concepts, tout en les rendant aussi accessibles (la maîtrise technique du support visuel doit jouer pour beaucoup, mais c'est surtout qu'elle appuie une démarche très complète). Un grand merci pour ton travail, c'est une forme de pédagogie qui gagnerait énormément à être plus répandue et normalisée.

@YA-lf3bi

Un grand couple de chapeau pour cette série de vidéos. Je n'avais jamais osé me pencher sur la partie mathématique de la relativité. Mais la clarté de cette vidéo et son côté didactic sont une pure merveille, je n'ai pas la prétention de croire que j'ai tout compris, mais j'ai au moins pu effleurer du bout du doigt l'élégance mathématique de cette théorie. Encore une fois bravo et merci

@IlanTarabula

Sans aucune exagération, je trouve personnellement que c'est la plus belle vidéo de relativité générale. Sur 5 jours, j'ai revu l'entièreté de tes vidéos sur la RG et j'ai ABSOLUMENT tout compris de l'aspect mathématique de cette merveilleuse théorie (alors qu'on vient de faire les équations du second degré au lycée, oui j'ai 16 ans), il y a eu comme un déclic dans mon cerveau. Je tiens donc à te remercier énormément pour cette qualité trop rare sur youtube. Juste wouah ! PS : Congratulation for Cambridge.

@rollos71

Damn ! 6 mois que j'attends cette vidéo ! MERCI !

@thomascarpentier5175

Je veux dire un énorme merci et un énorme bravo pour cette série ultra interessante, extrêmement bien faite et d'un niveau exceptionnel. J'ai hate de voir la suite. PS: si tu pouvais faire une petite série un peu similaire sur la thermodynamique, j'adorerai, et je pense ne pas être le seul.

@zarkha_

Le travaille que tu fournie est remarquable !

@juuulesd3754

J'ai pas les mots, je pourrai regarder ce type de vidéos pendant des heures et des heures, enfin quelqu'un qui nous prouve ce qu'il raconte et pas juste des explications bancales sur certains principes. Bravo !

@philogenedartois5653

Elle fini en apothéose cette série ! J'adore : très pédagogique sans renoncement aux détails qui font que c'est concret. On peut vraiment s'approprier la théorie ! Bravo !

@reptilienetfierdeletre9772

Les gens sérieux (on ne parle évidemment pas des crétins de conspirationnistes ou de spiritualistes) qui diffusent la science et le savoir méritent l'admiration et le respect. Compliments pour ta chaîne, tu fais œuvre utile !

@yann2045

Meilleure série de vulgarisation d'équations, même les chaînes anglophones ne sont pas aussi exhaustives et pédagogues. Très bon travail et merci !

@gilldeguill

Après avoir suivi une grande partie du cours d’introduction à la relativité générale du professeur Taillet j’ai revisionné toute la série de vidéos et tout y est limpide pour moi. Vraiment t’es bien expliqué. 👏👏

@emmanuelnipassa4853

Merci sciences clic tout les autres vidéos ainsi que celle ci très intéressantes et surtout très instructives. Vos vidéos m'aide à mieux comprendre et compléter le cours scolaire et pour finir j'aimerais vous demander de toujours publier plus de vidéos, elles sont vraiment très utiles

@60ancka45

LA VULGARISATION SCIENTIFIQUE : C'EST ÇA ! BRAVO MONSIEUR ! Merci Alessandro pour ces vidéos de qualité.